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Aric Serrano

Ville d’origine
Pecos (Texas)
Province
Centre et Sud des États-Unis

Faits saillants de sa formation jésuite

  1. Il a enseigné la musique aux élèves de l’école St-Jean-Chrysostome dans le Bronx, à New York, pendant qu’il étudiait la philosophie à l’université Fordham.
  2. Il a dirigé l’orchestre de l’école secondaire jésuite Regis d’Aurora (Colorado) pour la comédie musicale « Sister Act ».
  3. Il a exercé le ministère comme diacre à la paroisse Notre-Dame-de-Lourdes d’Oakland (Californie).

Après son ordination

Il a été nommé à la paroisse St-Pierre-Claver de Punta Gorda, au Belize.

Aric avec sa mère Julie et sa sœur Amanda, le jour de son ordination diaconale à Oakland (Californie).

Diplômes universitaires

Baccalauréat en éducation musicale, Eastern New Mexico University; maîtrise en philosophie, Fordham University; maîtrise en théologie pastorale, Jesuit School of Theology of Santa Clara University

Un passe-temps que tu cultives comme jésuite, et son importance pour toi ?
Dans mes temps libres, j’aime produire de la musique électronique. La musique occupe une grande place dans ma vie : j’aime à la fois jouer et composer. Les outils de production de musique électronique ouvrent des possibilités de création illimitées. Ces dernières années, j’ai passé des heures et des heures à jouer avec des synthétiseurs et des échantillonneurs. J’ai appris que presque tous les sons peuvent être incorporés à une chanson, du bruit blanc aux pièces de monnaie qui roulent sur un comptoir. Presque tous les sons peuvent déclencher l’inspiration.

Aric au parc national Yosemite avec ses compagnons, les pères Fikiri et Ngwenya, pendant leurs études de théologie en 2022.

En quoi ta vie spirituelle a-t-elle évolué depuis ton entrée dans la Compagnie ?
Au début de ma formation, je passais beaucoup de temps à prier sur les grandes questions : qui suis-je ? Qui es-tu, Seigneur ? Quel est le but de la vie ? La contemplation ignatienne m’a aidé à résoudre ces questions et à discerner où Dieu me veut. J’ai l’impression que ma spiritualité s’est simplifiée avec les années, tant ma façon de prier que les objets sur lesquels je prie. Mes sentiments dans la prière sont relativement stables. Il y a des consolations et des désolations plus fortes, en particulier pour discerner les grandes décisions de la vie, mais j’ai l’impression que les grandes fluctuations ne se produisent plus aussi souvent qu’au début. Le chapelet a pris beaucoup plus de sens pour moi, tout comme la Liturgie des heures. J’aime beaucoup prier avec l’Écriture, les Psaumes en particulier. Tous les jours, je demande à Jésus la grâce d’aimer comme il a aimé lorsqu’il arpentait notre monde.