Damian Torres-Botello

Ville d’origine
Kansas City (Missouri)
Province
Midwest des États-Unis

Faits saillants de sa formation jésuite

  1. Il a été membre fondateur de Jesuit Antiracism Sodality [Fraternité jésuite contre le racisme] et il fait toujours partie de la direction de ce mouvement.
  2. Pendant sa régence, il a travaillé avec une troupe de théâtre, le Detroit Mercy Theatre.
  3. Il a vu la main de Dieu dans la façon dont il a été aimé, entouré et accompagné par les jésuites lorsque sa mère est décédée en 2014.

Après son ordination

Il travaillera comme vicaire à la chapelle Bellarmin de l’université Xavier de Cincinnati.

Damian et ses parents, Sandra et Manuel, quelques jours avant son entrée au noviciat de la Compagnie de Jésus.

Diplômes universitaires

Baccalauréat en théâtre, University of Saint Mary; maîtrise en philosophie sociale, Loyola University Chicago; maîtrise en théologie pastorale, Boston College School of Theology and Ministry

Trois mots qu’un proche ou un ami jésuite emploieraient pour te décrire et ce que tu en penses.
Je n’avais jamais posé ce genre de question à qui que ce soit, mais c’est fascinant comme exercice. J’ai interrogé certaines des personnes les plus proches de moi. L’une d’entre elles, le père Aaron Malnick, SJ, a proposé six mots, qui résument tout ce que tous mes proches semblent partager comme avis : sens de la rue [streetwise], organisation, authenticité, hospitalité, recueillement et intrépidité. Pour l’hospitalité, Aaron a expliqué : « tu donnes aux gens l’impression qu’ils peuvent être eux-mêmes à 100 % lorsqu’ils sont en ta présence ; tu ne prends pas de grands airs, si bien que les gens n’éprouvent pas le besoin de porter de masque ». Ce que dit Aaron me touche beaucoup ; les propos de mes proches et de mes amis m’ont profondément réconforté.

Damian avec sa famille et des amis après sa première messe comme diacre à la paroisse Ste-Catherine-Drexel à Boston. Première rangée: Manuel Botello (son père), Denise Rein (sa tante). Deuxième rangée: Jeremy Lillig (un ami), Damian, Michael Burrow (son cousin). Troisième rangée : Elizabeth Madeo (une amie), Miranda James (une amie), Rebekah Torres (sa filleule), le père Oscar Pratt (curé de la paroisse Ste-Catherine-Drexel). Dernière rangée : le père Eric Immel, SJ (un ami), le frère Denis Weber, SJ (qui l’a aidé à revêtir la dalmatique), le père Adam DeLeon, SJ (qui l’a aidé à revêtir la dalmatique) et le père Samuel Afonso, SJ (un ami).

Un fait intéressant à ton sujet que tout le monde ne connaît pas ?
Une chose que bien des gens ne savent pas, c’est que j’ai participé à la fondation d’une troupe de théâtre avec mon grand ami Jeremy Lillig, en 2004. Nous l’avons appelée la Full Circle Theatre Company: elle voulait être « une troupe de militants et d’artistes qui mettent en scène des questions de justice sociale afin de défendre les droits et la dignité de la personne ». Ce fut l’une des expériences les plus formatrices pour moi sur le plan artistique, professionnel et spirituel.

L’histoire de ta vocation, mais en quelques mots seulement.
Je dirais : je pensais ne pas y arriver, mais Dieu voyait les choses autrement.