« J’ai toujours aimé jouer au tennis. Sur un court de tennis, on peut vivre nombre de sensations et de sentiments qui ponctuent notre vie de tous les jours. Apprendre à réagir et à gérer ces émotions a certainement influencé ma façon de me comporter comme jésuite en dehors du court de tennis. »
Il ira faire une maîtrise en beaux-arts à la San José State University.
Baccalauréat en psychologie, University of St. Thomas; maîtrise en philosophie sociale, Loyola University Chicago; maîtrise en théologie pastorale, Boston College Clough School of Theology and Ministry
J’ai toujours aimé jouer au tennis. Sur un court de tennis, on peut vivre nombre de sensations et de sentiments qui ponctuent notre vie de tous les jours : la déception, la pression, la griserie, le triomphe… Apprendre à réagir et à gérer ces émotions a certainement influencé ma façon de me comporter comme jésuite en dehors du court de tennis.
Oui, vers les beaux-arts. Même si la Compagnie a richement contribué à l’histoire de l’art, je n’aurais jamais pensé devenir jésuite et artiste.
Créateur, athlétique, mystique. J’ai des doutes sur le troisième, mais j’en remercie Sean Barry, SJ, un des compagnons jésuites dont je suis le plus proche!
Edmund Campion. Le seul livre que j’ai lu pendant ma retraite de 30 jours en silence, c’est la biographie que lui a consacrée Evelyn Waugh, Edmund Campion: A Life. Son courage, son acuité intellectuelle et sa sollicitude pour les gens, « le peuple de Dieu », m’ont vivement impressionné.
C’est un pas difficile à faire et il y aura des obstacles sur la route, mais il y aura aussi beaucoup de joie, de vie et de grâce. Tout cela te façonnera plus que tu ne saurais l’imaginer.
Voir quelque chose sous un angle différent, partager un repas avec des amis, rire, marcher dans la nature, jouer du piano et ouvrir des cartes Pokémon avec mes neveux et nièces.